28 mai 2025 à 15:09
Bonjour voici notre demande de création de gang Wolfy
L’histoire de la Wolfy :
L’histoire de la wolfy débuta en 2013, suite à une soirée un peu trop arrosée, trois frères ivres décidèrent d’aller finir la soirée dans un bar. L’un se nommait Marceau, l'autre Hugo et le dernier Alex. L’ambiance était bonne jusqu’à ce que l’un d’entre eux, Marceau Dupont se fit rentrer dedans par un groupe de quatres délinquants. Étant un petit peu confus par l’alcool, il demanda que des excuses lui furent présentées. L’on se moqua de lui ce qui fit monter les tensions. Marceau étant alors dans un excès de colère colla une droite dans le faciès d’une des racailles. Cependant il ne savait pas lorsqu’il l’avait frappé que ses frères étaient partis se soulager et ne seraient donc pas en mesure de le soutenir. Cela dégénéra et il se fit mettre au sol. En effet, même un bagarreur aguerri n’aurait pas eu beaucoup de chance contre trois personnes. Ils le rouèrent de coups et s’enfuirent lorsqu’ils virent les deux frères arriver. Les frères de Marceau le voyant mal en point foncèrent l’aider, afin d’éviter le pire. Pendant que l’un utilisait une trousse de premier secours trouvée à l’arrière du bar, l’autre lui, récoltait quelques témoignages afin de savoir qui étaient les agresseurs. Heureusement, il n’avait reçu que quelques contusions et l’arcade sourcilière fracturée. Les agresseurs quant à eux furent identifiés comme des petites frappes qui trafiquaient quelques petits stupéfiants et parfois un ou deux petit calibres. On ramena le blessé à son domicile afin de le soigner et de le laisser se remettre, pendant ce temps les trois frère lorsqu’ils auraient du temps libre iraient planifier leur revanche vis à vis des racailles de bas étage. L’on décida alors dès que Marceau serait rétabli d’envoyer un des deux frères que les racailles n’avaient pas vu se faire passer pour un addict cherchant un moyen d’acquérir une quelconque substance illicite. Cela fonctionna et l’on se donna rendez-vous dans un parking isolé. Ils embarquèrent une batte de baseball en aluminium, elle ne servirait que dans la possibilité qu’un des voyous sorte une arme blanche. Ils étaient tout de même inconscient de ne pas considérer qu’ils pouvaient posséder une arme à feu. Hugo Marceau et Alex arrivèrent avec deux heures d’avance. Ils se parquèrent de manière éloignée du point de rendez-vous. Se préparèrent et vérifièrent que, si c’était nécessaire, ils auraient une trousse de secours remplie. C’était enfin l’heure du deal. Alex bien que effrayé se rendit à la rencontre du groupe de trafiquants. Les deux autres quant à eux se dissimulaient derrière une voiture parquée, la batte à proximité et les yeux rivés sur l’échange se passant à vingt mètres d’eux. Ils attendirent que les présentations soient faites. Ils se frayèrent un chemin afin de pouvoir rapidement intervenir ne leur laissant pas le temps de se préparer ou de sortir une arme. C’était le moment. Ils chargèrent. Ce fut rapide et brutal. L’une des trois racailles se vue taclée par Hugo puis il se prit quatre coups de point dans la tête. Il vivait toujours mais il ne pourrait en tout cas plus se battre de si tôt. Le second quant à lui émit plus de résistance. Alex se battu contre lui avec bravoure cependant il n’arrivait pas à se départager de son adversaire. Les deux commençaient à être blessés alors dès que Hugo en eu fini avec le sien il vint l’aider. À deux ils n’eurent aucun mal à gagner l’affrontement. Marceau quant à lui, en quête de vengeance, se battait avec le dernier des trois. Celui qui l’avait poussé au bar. Il gagnait cependant, son adversaire recula quelque peu et plongea sa main dans son veston à la recherche de quelque chose. Marceau comprennant qu’il s’agissait probablement d’une arme le frappa aussi fort que possible, touchant sa tête. Il tomba, puis ne bougea plus. Il l’avait tué sur le coup. Il se redirent compte de l’erreur immédiatement. En effet une agression c'était une peine que l’on pourrait qualifier de grave cependant un meurtre c’était un autre niveau.
On chargea les trois corps inanimés dans le van. Pendant que Hugo et Marceau montaient à l'avant, le dernier des trois lui monta à l’arrière pour éviter que les passagers imprévus ne se révoltent. Il en profita pour les fouiller. Bilan ? 300 grammes de marejuana deux glock-17 et un opinel. Ils décideraient de quoi faire de leur butin plus tard. Ils décidèrent d’achever les deux personnes encore vivantes. On ne pouvait pas risquer de laisser un témoin. Après que les deux perdants passèrent l’arme à gauche, l’on dut se débarrasser des cadavres.
Alex fut de corvée de nettoyage de la scène de crime. Hugo et Marceau quant à eux se débarrassaient des cadavres. On dû ensuite se décider que faire du butin. On se dit qu’afin de rembourser le traumatisme, on décida de vendre la drogue, et une des armes à feu. Quant à l’arme à feu restante et à l’opinel ? On les conserva se disant qu’ils pouvaient toujours être utiles d’un jour à l’autre. On se répartit alors les tâches. Alex dû en parallèle de son métier de développeur vendre la drogue. On lui confia la lame. Hugo qui était mécanicien était quant à lui plus attiré par l’arme et sa vente, se vit attribuer un des glocks pour sa défense et celle de ses frères mais également un à vendre. Le dernier étant Marceau on lui confia la gestion de la globalité des affaires. Il assisterait chacun des frères lorsqu’ils en aurait besoin. Cela prit un peu de temps. Ils durent trouver des clients. Cependant cela finit par marcher. Au début calmement mais cela prit rapidement suffisamment de vitesse pour écouler les stocks. Plus que l’arme de défense et plus de drogue. Cependant ils ne purent s’empêcher de trouver le revenu tiré de ces ventes comme attrayant. Un soir après avoir contemplés les attraits de ce train de vie risqué. On décida de s’immerger dedans. Ils décidèrent d’un commun accord que, sauf si cela était plus que confortables, il s’agirait juste d’un revenu secondaire leur permettant quelques dépenses. Il faudrait être précautionneux avec les dépenses que cela pourrait occasionner, mais également leurs bénéfices. On tiendrait une comptabilité stricte mais camouflée sous noms tels que nourritures et revenus du travail. Cela devrait suffire pour un petit revenu supplémentaire n’est ce pas ? Venait le problème des fournisseurs. Ils n’avaient plus de produits. Bien heureusement il restait une personne en vie du groupe de délinquants. Ils savaient où il vivait. Ils enfilèrent des cagoules, des gants, prirent de la corde, prirent leur pistolet et leur opinel et s’y rendirent de nuit. Ils arrivèrent devant le logis de l'intéressé. Aucun signe de vie. Il devait être en soirée. Ils se cachèrent dans la cage d’escalier de son immeuble. afin d’éviter d’être immédiatement repéré, ils vandalisèrent la lumière pouvant les rendre visibles. Ils attendirent. Deux heures plus tard, il revint complètement soûl. On attendit qu’il sortit de l'ascenseur pour lui asséner un coup. Il tomba et était sous le point de crier lorsqu’il vit l'opinel sous sa gorge et le pistolet pointé sur lui. On l’attacha vite, on lui glissa également un large chiffon dans la bouche pour l’empêcher de crier et de mordre. Ils se dépêchèrent ensuite de l'amener dans le van. On le conduisit immédiatement dans la cave de Hugo. Il n’avait pas de voisins, ils seraient donc tranquilles. Ils attachèrent leur invité sur une chaise. Hugo veilla jusqu’à ce qu’il se réveille. Il lui expliqua que sur le moment il n’attendait pas de réponse cependant qu’au matin levé il devrait répondre à des questions et qu’il aurait intérêt à le faire. Mais également que quoi qu’il fasse il ne réussirait ni à s’échapper ni à prévenir les secours. Ses effets personnels lui avaient déjà été prélevés. Hugo s’en alla dormir laissant l’interrogatoire pour demain. C’était dimanche, à huit heure du matin Alex entra dans la cave. Il le prévint de nouveau qu’il aurait intérêt à communiquer les informations requises. Il le débâillonna, puis lui demanda qui étaient leurs fournisseurs.
Le captif lui répondit un flot d'insultes tournant autour du fait de continuer d’espérer et qu’ils pouvaient toujours attendre. Alex lui donna l’injonction de bien vouloir arrêter de déblatérer si ce n’avait aucun lien avec ses questions. Le captif réitéra son flot d’insultes.
Il fut puni par un coup dans le ventre. La question fut posée de nouveau. Encore des insultes. Le cycle tournant autour de coups de poings et de questions puis d’insulte dura trente cinq minutes. Le captif avait déjà vomit et saignait en bonne quantité. Il cracha finalement le morceau. On le libéra et le menaça dans la possibilité qu’il rapporte les actes dont il fut témoin.
Le fournisseur d’armes se nommait Tony Montana. Le fournisseur de stupéfiants ? Henry Hill. Tony lui, était selon le prisonnier des trois frères fiable et vendait la meilleure qualité que l’on puisse trouver dans le marché. Henry quant à lui avait passé son âge d’or depuis longtemps. Il ne vendait plus que de la mauvaise qualité à présent.
Les trois frères se réunirent. Ils décidèrent de prendre contact avec eux par l'intermédiaire du téléphone de leur prisonnier. Ils appelèrent les deux fournisseurs. Ils expliquèrent la situation et de toute façon, ce qui intéressait les fournisseurs c’était surtout la fiabilité et, bien évidemment, l'argent. Marceau convenu d’un rendez-vous avec chacun. Les règles ? pas d’armes chargées et, le respect serait de mise. Ils se rendirent tout les trois aux rendez-vous et conviennent d’accord tous ensembles. Pour les armes, le bénéfice était élevé mais, trop compliquée à écouler pour le moment, ils n'achèteraient qu’à la demande. La drogue quant à elle serait achetée au préalable. Chaque semaine, l’on irait récupérer des stocks. Afin de conclure le premier accord, ils décidèrent d’acheter surtout de la marejuana mais également afin de voir si le marché était intéressant, un peu de cocaïne et d'ecstasy. Chaque jour, après le travail ils allèrent donc écouler la marchandise et prendre les commandes. Les marges étaient hautes mais restaient respectables pour les acheteurs. Cela marchait bien, très bien. Grâce au manque de concurrence à leur échelle, ils purent répondre à la demande d’une quantité d’individus plus que respectable pour des débutants.
Les revenus débutèrent en centaines, ils devinrent vite des milliers. Au début, ces milliers étaient utilisés afin de payer les fournisseurs, et l’argent restant n’était pas en quantité suffisante pour alarmer l’état. Cependant, plus le temps passait plus l’argent qu’ils en tirait était élevé. Ils durent parler à un membre de la famille afin de trouver une solution. Ils s'adressèrent à Pierre qui justement travaillait en tant qu’avocat. Ils pouvaient lui faire confiance. C’était leur cousin. Ils lui expliquèrent la situation, il comprit vite la situation. Il avait déjà eu des cas similaires et bien qu’il n’était pas expert en la matière, il accepta de les aider. Cependant il demanda en échange d’être inclus dans le groupe, qui à ce rythme deviendra bientôt une organisation. Il toucherait également un pourcentage. Il ne vendrait pas, il aiderait au niveau des finances, de la législature et de la logistique. Tout comme les autres, il continuerait à travailler en parallèle. Tout d’abord ils devraient se décider à acheter par un prêt une entreprise permettant de payer en liquide, cela permettra de pouvoir camoufler les revenus illégaux dans les légaux et, par les revenus de l’entreprise ils rembourseront le prêt rendant l’acquisition de l’entreprise presque légal tant que l’on oublie la provenance des fonds. Maintenant la question se posait de savoir dans quel marché ils souhaitaient ouvrir leur première entreprise. On se décida pour un bar. C’était assez idéal, l’on paye en liquide, les coûts de production sont suffisant pour ne pas les ruiner. On pouvait prétexter avoir besoin de stockage pour acquérir un entrepôt. L’on pouvait aisément falsifier les comptes afin de rajouter des transactions. Qui irait vérifier combien de poivrots étaient venus au bar du coin ? Les trois frères avaient l’argent pour acheter le bar mais cela ne les aurait laisser sans trop de marge. Cependant Pierre leur conseilla de contracter un emprunt pour des raisons financières et de crédibilité en effet un individu lambda n’allait pas investir l'entièreté de son capital dans une affaire qu’il n’est pas sûr de pouvoir faire fructifier. Ils contractèrent un prêt à la hauteur de la moitié du prix de l’affaire. Ce fut aisé. Ils avaient tout les trois un emploi stable bien que Marceau le quitterait afin de s’occuper du bar, et ils avaient placé en garantie le domicile de Marceau qu’il avait réussi à acquérir quelques années auparavant.
Un bar de leur ville fut acheté. Il était fréquenté par des habitués et les affaires marchaient bien, mais son propriétaire allait prendre sa retraite et souhaitait le céder à des jeunots qui pourrait l’entretenir. Il facilita l’acquisition et pour seulement une somme montant à vingt-mille billet vert leur céda les contrats d'approvisionnement et les contrats des employés. Marceau entra dans ses fonctions aussitôt que l’achat fut conclut. Il n’aurait presque qu’à s’occuper de la gestion. Les premiers mois, quand bien même les ventes de marchandises illégales se poursuivaient, on décida de ne pas blanchir d’argent. La raison était simple, on souhaitait faire profile bas au début quitte à avoir besoin de stocker les bénéfices dans leur matelas. Le bar marchait bien, on commençait à rembourser le prêt. Pendant ce temps, les ventes continuaient. Le nombre de clients s'agrandit, on commençait à avoisiner les cinquante ventes par semaine. Les commandes d’armes suivaient. Celles de drogues par contre malgré que la quantité soit présente, la qualité l’était de moins en moins.
Il faudrait se pencher dessus, cela attendrait cependant. Quelques mois après, en plus des revenus du bar qui augmentaient, l’on débutait à blanchir de l’argent. On augmentait les sommes petit-à-petit. Le but était de blanchir soixante pourcents de l’argent que l’on amassait. Le reste servirait en cas d’urgence et pour les fournisseurs. Cela continuera de cette manière pendant aux alentours d’une année. La quantité de clients continuait à augmenter, les fonds des trois frères aussi.
Cependant plusieurs problèmes se posaient. Il allait falloir produire son propre cannabis. Les drogues de synthèse, elles attendraient plus tard, de toute façon leur fournisseur n’en produisant pas, ils n’avaient donc pas d’acheteurs et ne se considéraient pas suffisamment expérimenté pour rentrer dans ce monde. Ils décidèrent, étant donné qu’ils avaient remboursé le prêt, d’investir dans un entrepôt pour le bar. Ils discutèrent avec Marc qui était botaniste et leur cousin également. Il était d’accord de travailler à temps plein, cependant il lui faudrait une couverture également en plus d’un salaire. Il est vrai qu’un botaniste talentueux qui décide soudainement d’une reconversion professionnelle en tant que barman, cela ne court pas les rues. On décida donc d’en plus d’acheter un entrepôt on achèterai une arcade vide afin d’en faire un magasin de plantes, l’on y trouvait graines, fleurs et livres sur le sujet. On achète également à prix réduit un bâtiment. Il était grand, mais, connaissant l’agent immobilier et souhaitant faire une acquisition de multiple bâtiments on leur fit une réduction respectable leur permettant d’acheter en usant d’un prêt. Ils durent encore mettre en garantie leur possessions mais ce n’était pas grave. Cependant, quand bien même les trois étages du bâtiments furent remplit de fleures et de diverse plantes aux effets bénéfiques il faudrait pouvoir place de manière dissimulée une plantation d’autre nature. Il existait un problème, si ils employaient des travailleurs par la voie légale, il existerait une trace du sous-sol pouvant mener à une inspection. Hugo, Alex et Marc se décidèrent à creuser par eux même. Ils firent appel à Albertuse. Il s’agissait de leur oncle, il avait toujours été doué de ses mains. À quatre ils débutèrent les travaux. Cela durerait plusieurs mois, il faudrait tout d’abord creuser et ne pas oublier de poser de solides fondations afin d’éviter que le plafond s’effondre sur les personnes y travaillant. Lorsque, quelques mois plus tard le creusage de multiple sous-sols d’une superficie assez étonnante il fallut commencer à le perfectionner et à l'aménager. Quand bien même ces travaux grignotaient largement les revenus des ventes de drogues et d’armes cela serait pour le mieux. Cela augmenterait les bénéfices. Ils n’auraient plus à se référer à un fournisseur qui, qui plus est leur fournissait de la qualité de plus en plus médiocre.
Ils durent se fournir de multiples humidificateurs, déshumidificateur, un système de chauffage et de refroidissement leur permettant de garder la température idéale pour les plantes, des lumières permettant la plantation d’obtenir suffisamment d’UV et bien évidemment du terreau permettant de planter le chanvre.
Ensuite on se mit à l'aménager de façon pratique. On en dissimula l’entrée sous le canapé de la salle de pause de la plantation de fleurs. On y accédait par une trappe puis une échelle. On y posa une trappe blindée afin d’éviter des intrusions. On ponça les murs, et l’on donna deux milles euros en billets à Marc afin de décorer et d'aménager ses sous-sols pour son confort mais également dix milles euros pour les choses nécessaires qu’ils auraient oubliés tels que des emplacements pour sécher ses plantes, des congélateur. On avait également ajouté un emplacement afin de les empaqueter dans des boîtes puis de les envoyer vers un sous-sol qu’on avait creusé en dessous de l’entrepôt. Patrick le neveu de Marceau qui était ingénieur s’en chargerait. Cela devenait une véritable entreprise familiale. Cependant avec l’expansion du business et du nombre d’employé on avait oublié de rembourser les prêts. On donna les bénéfices d’un mois à Marc afin qu’il se fournisse en graines et accessoires nécessaires. On devait réduire les dépenses et augmenter les bénéfices afin de se défaire de leurs dettes. Le temps que Marc finisse de faire pousser son produit, il fallut continuer de se fournir chez Henry Hill. Quelques mois plus tard, la première fournée de production de chanvre était prête. On la prépara pour la vente, puis afin de fêter cela et avant de prévenir Henry on décida de réunir tous les participants de cette affaire.
Ils allèrent boire un coup au bar racheté par Marceau un soir où il l’avait réservé à cette occasion en prétextant un dîner de famille. Cela se passa bien mais une discussion capta toute l’attention des convives. Selon la réaction de Henry il faudrait possiblement se battre. Dans ce cas, il faudrait avoir une organisation sous laquelle se présenter. En effet il ne s'agissait plus de dealers de bas étages mais de vendeurs à grand échelle qui produisaient dorénavant une partie de leur marchandise. Il faudrait décider d’un chef, d’un fonctionnement et surtout d’un nom. On proposa plusieurs noms tels que la Brahman, la Wolfy et quelques autres noms. Le nom Wolfy fut élu largement. Le chef ? Cela donna lieu à quelques conflits cependant Marceau se vu élu de justesse. Le fonctionnement fut débattu et une hiérarchie en plus d’un système fut mit en place. Le lendemain, la plupart se remettaient d’une cuite, ils ne pouvaient donc pas parler avec Henry. Le lendemain cependant, on alla contacter Tony. On lui expliqua que ils souhaitaient s’émanciper d’Henry et qu’ils étaient de suffisamment grands acteurs dans le secteur pour profiter à Tony. Ils le rassurèrent en lui expliquant que cependant ils ne se sépareraient pas de lui. En effet ils n’avaient ni les fonds ni la logistique pour lancer une chaîne de production d’armement. Tony accepta de les aider. Cependant il se trouvait quelques conditions et avantages. En plus de son assistance dans ce conflit il leur octroie les armes nécessaire pour leur protection ou leurs conflits à prix réduit, et si ils eurent le besoin de lui emprunter de l’argent pour acheter des armes, il leur laissait une ardoise de un million au cas où. Ils bénéficieraient également de tarifs légèrement réduits en plus de la capacité d’acheter des armes de la totalité du catalogue disponible. En échange l’organisation dorénavant Wolfy devrait effectuer et respecter quelques critères. Tout d'abord, la Wolfy devrait se fournir exclusivement en arme chez Tony. Ensuite, si jamais Tony avait besoin de se fournir en stupéfiants, il bénéficierait des mêmes réductions que la Wolfy. En plus de cela si jamais Tony aurait besoins de petits services tels que se cacher au suites de poursuites judiciaires ou de conflits, on les lui rendrait. Marceau demanda également que chacun de ses membres puissent être formés au maniement d’une arme et au combat. Ce lui fut accepté. On décida de se préparer durant un mois avant qu’ils durent rencontrer Henry et ensuite de continuer les formations. En effet ils n’étaient pas dupe, si jamais un des meilleurs acheteurs d’Henry décidait de se séparer de leur fournisseur, cela n’allait pas bien ce finir. Le jour du rendez-vous en plus de venir avec la quasi-totalité de la wolfy armée de différentes armes on amena certains des meilleurs combattants de Tony. Du côté de la wolfy, on en amena des récemment formées mais également un déjà formé, Pablo Dupont.
Marceau, Hugo et Alex rentrèrent comme à leur habitude. Ils avaient réussi à dissimuler des petits calibres sur eux. Pendant ce temps le reste attendait dans une camionnette. Marceau annonça alors à Henry que leur partenariat allait s’arrêter là. Comme prévu Henry ne réagit pas de la manière la plus pacifique. La tension monta jusqu’au moment où il sorti un pistolet. À ce moment, craignant qu’il blesse sa famille, Marceau dégaina et tira. La balle se logea dans le ventre d’Henry qui appelait son équipe de sécurité. En parallèle, l’équipe de combattants de la Wolfy sortait des vans. Il faudrait régler cette histoire avant la potentielle arrivée de la police. L’affrontement fut rapide. Les ennemis de l’organisation furent surpassés par la qualité des armes, leur calibre, le nombre de combattants mais également leur qualité. Il y eut quelques blessés plus ou moins graves du côté de la wolfy et un soldat de Tony mort. Pour les autres le bilan fut bien plus lourd. On les trouva tous morts sauf un, un chimiste qui était blessé. On commençait à entendre les sirènes se rapprocher alors il fut chargé dans l’un des vans et les premiers soins furent appliqués aux blessés notamment à lui. Il se nommait Arzhur. Il fut stocké dans un des sous-sols de l’entrepôt et, quand il fut remit on lui demanda d’apprendre à Mark qui était Chimiste et le cousin de Marceau comment faire des drogues de synthèse. Il expliqua qu’il lui fallait un laboratoire et que, si il était bien payé, il ne communique rien aux forces de l’ordre et serait fidèle. On le garda séquestré jusqu’à ce qu’on aille la possibilité de construire un laboratoire. Il fallait tout d’abord finir de rembourser les prêts. Bien heureusement, avec l’augmentation de la quantité de stupéfiants, de leur qualité et de leur bénéfice, le nombre d’acheteurs augmenta. Il faudrait bientôt faire un système de distribution plus efficace. En seulement quelques mois les emprunts furent remboursés.
La wolfy économisa encore un peu afin de pouvoir payer de manière directe un autre bâtiment pour le chimiste. La Wolfy décida d’acquérir un magasin de parfum, et un bâtiment pour en produire. Non seulement cela donnait une couverture correcte pour un chimiste mais également cela autorisait et justifiait l’achat de plusieurs substances contrôlées. Comme à leur habitude ils firent construire un laboratoire en sous-sol et demandèrent à leur prisonnier d’enseigner la fabrication de plusieurs drogues de synthèse. Cela prit deux mois mais, ils pouvaient maintenant également se lancer dans le business. Ils se firent ici aussi un nom. Ils possédaient dorénavant le plus gros trafic de leur ville. Ils avait également commencé à payer quelques vendeurs externes à la Wolfy. Les affaires marchaient extrêmement bien. À vrai dire, ils se sont même lancés dans les crimes faisant plus de bruit. Ils débutèrent avec des braquages de banques. Ils auraient pû braquer des supérettes cependant ils avaient un tant soit peu d’éthique “professionnelle“. La plupart des membres de la wolfy s’y étant mit à temps pleins sous de diverses couvertures légales, la montée en puissance d’une organisation telle que la Wolfy se fit bientôt savoir. Leurs braquages étaient rapides, efficaces et profitables mais ne tournaient pas aux massacres d'innocents contrairement à celui d’autres criminels. Cependant ils faisaient bien attention à ne pas entrer en confrontation directe avec le gouvernement. Ils n’hésitaient pas à fournir un petit cachet à certains policiers, politiques ou juge pour fermer les yeux sur certaines choses. Lorsque la Wolfy passait à l’acte, les journalistes faisaient la fête. En effet, ils étaient promis une première page de qualité. Tout se déroulait bien. Un jour cependant tandis que Mark produisait sa drogue de synthèse, il entendu des bruits bizarres. Il fit rapidement appel aux membres à proximité. Lorsque Jean qui venait d’être engagé et qui était le cousin de Albertuse arriva en trombe afin de protéger la production et celui qui la produisait, on lui tira dessus.
Heureusement il ne fut pas grièvement blessé. Il appella des renforts et seulement cinq minutes plus tard, un fourgon avec Marceau, Pablo, Patrick, le cousin de Pierre, Kylian qui était le cousin de Pierre et Tim, le neveu de Hugo débarqua.
Ils étaient armés d’armes automatiques, avec un gilet-pare-balle une cagoule. Ils arrivèrent, bien heureusement, le laboratoire de parfums était bien éloigné ils ne craignaient donc pas l’arrivée des forces de l’ordre. Un échange de tir se produit. Encore une fois, les opposants de la Wolfy perdirent. Ils étaient inexpérimentés. Deux n’étaient pas morts. Ils furent capturés et séquestrés. Ils se virent interrogés par Mark. Il leur demanda qui les envoyaient. On lui répondit qu’il s’agissait d’un trafiquant sans vergogne se nommant Salvadore Tessio, jaloux de leur empire. Ils décidèrent de partir en guerre. Cela débuta par envoyer une lettre informant Salvadore qu’ils détenaient deux de ses membres et, qu’ils réclamaient deux-cents cinquante milles euros déposés en cash dans les bois. En échange ils relâcheraient l ’un d’entre eux. Salvadore accepta. Le jour de l’échange cependant Salvadore ne fit pas preuve d’honneur et tira sur ceux qu’ils vu dès le début de l’échange.
L’otage fut abattu. Les règles existent, ils n’avaient qu'à pas les transgresser, en voici les conséquences. Le gang si on peux le nommer ainsi qui était leur ennemi n’était pas règlement à craindre, cependant ils étaient traîtres, fourbes et ne respectaient rien.
L’escarmouche se conclut rapidement. La plupart des ennemis fuirent. Une demi-douzaine d’entre eux passa l’arme à gauche. Du côté de la wolfy, cinq soldats de Tony moururent, Mark fut également grièvement blessé. Une réunion de guerre fut organisée. On y décida d’une stratégie et également d’une devise. Ils s’inspirèrent de l’empire romain. “Se vis pacem, para bellum”. La guerre durera huit mois. La Wolfy resta à peu prêt fidèle à ses principes. Elle vaincu cependant ce ne fut pas aisé. Lorsqu’ils arrivèrent à tenir Salvadore captif, ils l'abatièrent. Ainsi se conclut la guerre. La Wolfy récupéra encore plus de territoire et de clients. À partir de maintenant je ne vais plus documenter chacun des changements et achats du groupe. Les gains montèrent également et pour la première fois les membres commençaient à devenir réellement riches. Sous prétexte d’investissements en bourse, ils commencèrent à acheter des propriétés, voitures et objets de luxe. Les affaires fleurissaient. Par exemple, Ethan le neveu de Marceau et Pierre achetèrent une collection de montres. Malheureusement pour la Wolfy, les affaires bien que profitables ne dureraient pas. Lorsque la première personne qu’ils avaient séquestrée alla porter plainte quelque mois après, la surveillance fut accrue.
Avec le temps, la police avait commencé à suivre la Wolfy et à tenter de récupérer des preuves. Malgré les difficultés à réunir des preuves, au bout de quelques années ils avaient suffisamment d’informations pour les inculper et, les arrêter. Marceau en fut averti. Il décida de fuir avec sa famille sur un yacht privé. Cependant les forces de police s’en rendirent compte. Afin de couvrir sa fuite, ils tirèrent dans les rues afin d’éloigner les forces de polices. Ils ne tiraient pas pour tuer ou blesser. Seulement pour agir en tant que suppression. Ils arrivèrent à s’en tirer. Tous sur le yacht que pilotait Jean. Ils mirent cap sur Endocraft. Ils arrivèrent à s’y rendre. Ils n’avait plus toutes leur propriétés cependant ils avaient leur expérience. Cela suffirait afin de les faire prospérer, d’imposer le respect mais également afin de pouvoir amener leurs valeurs diverses.
C’est ainsi que se conclut l’histoire de la Wolfy, tout du moins pour l’instant.
Objectifs de la Wolfy : Notre objectif est de régner d'une main de fer sur la ville, que notre nom soit craint et respecter
Activité criminelles : La Wolfy excelle dans tout ce qu'est trafic de drogues, Braquages, trafics d'armes, meurtres et prise d'otages.
Hiérarchie :
Leader : c'est le chef du gang
Second & tertiaire : Ils assistent le leader dans toute ses démarches
Confident : Ils s'occupe de transféré toute les infos entre les moins haut gradé et les haut gradés
Capitaine : C'est le premier rang des haut gradés
Lieutenant : Ce sont des membres qui aides les capitaines
membres confirmé : Membre de confiance après un moment dans le gang
Rookie : plus bas rang existant
Membres de gang:
DivisionWolfene
DivisionGarou ,Rapsag
Biboushi,
Ezaytix et IM_Zwennoo
Clorqui
Dawen, DivisionRk et _DivisionHugo_ etc.
Moyen de nous contacter
https://discord.gg/W2H4tatY3n